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Préparation de la journée ANIMATION
27 septembre 2005



La nécessité de fondre dans une même action "Animer un fonds de musique" et "Mise en valeur de fonds" s'est fait jour au cours de la réunion du 17 mai.
Préalablement à la formalisation d'une demande de formation, il a été convenu qu'un retour sur expériences, une discussion sur le fonds et l'étude de différents projets coopératifs devaient être envisagés.



QUESTIONS A TRAITER AU COURS DE LA JOURNEE
- L'animation fait-elle partie de nos missions et si oui, jusqu'où ?
- La coopération dans le domaine de l'animation :

  • Partage des frais expos, spectacles (organisation de tournées si organisé en association)
  • Page expo du site BMMP
  • Rubrique animation sur Discothécaires.fr
  • Mise à disposition de nos compétences

- Quelles retombées sur le long terme
- Public de proximité ou/et public de passage
- L'animation en discothèque vendredi 14 décembre 2001 Discothécaire.fr
- Type texte : ARTICLE Auteur : FROCHOT D. Titre : L'animation culturelle en médiathèque et son contrat Résumé : Cet article analyse les incidences juridiques d'une animation mise en place en médiathèque faisant intervenir des interprètes et du matériel (responsabilité civile, droit d'auteur, droit des interprètes, contrat de travail). Détail sur le montage contractuel de ce type d'animation et exemple de contrat. Références : ART1101 et suivants et ART1382 et suivants du code civil, LIVRE I et II du code de la propriété intellectuelle (CPI) (ART L212-1 et L212-3, ART L762-1C du code du travail). Source : ARCHIMAG DU 03/2005 N182 P54-55
- Intervenants extérieurs lors de cette journée ?



A la Bibliothèque municipale de Strasbourg nous proposons quelques actions en nocturne dans l'année.
Je ne parle ici que de celles qui concernent la musique.
Pour information nous n'avons pas d'auditorium et utilisons notre salle d'exposition (environ 100 places / maximum 130 + quelques praticables + dotée d'une sono et d'un système d'éclairage modulable : expos ou concerts). En règle générale plus adaptée à de la musique acoustique.
La bibliothèque est située au centre ville, quartier gare
Actions menées en nocturne pour 3 motifs principaux :
- c'est la seule façon d'intégrer ces projets dans notre programmation (cf. amplitude horaire, partenariats avec des festivals ou disponibilités des intervenants)
- logistique liée au projet : si la sonorisation du concert ou de la rencontre musicale n'est pas compatible avec une ouverture en parallèle de la bibliothèque
- pour toucher plus facilement un public ciblé
Types d'animations :
Les actions proposées sont soit le fait d'un partenariat local (avec un festival, le conservatoire, une association...), soit nous permettent de mettre en avant des musiciens de la région, soit explorent le lien qui existe entre musique et littérature ou image.
Public : fourchette de 4 à 130 personnes. Les participants varient en fonction des projets, mais en soirée nous touchons souvent un public différent de celui qui fréquente habituellement la bibliothèque. Cela nous a permis à la fois une ouverture vers notre public de proximité (quartier gare de la ville) et vers un public ne non abonnés à la bibliothèque qui était motivé que par ce projet particulier, mais qui à cette occasion découvre la bibliothèque. En général la fréquentation est plus importante, parfois même à limite des capacités de la salle, lorsque nous engageons un partenariat avec un festival.
Personnel : au minimum 1 personne pour la présentation du projet au public, 1 personne pour l'accueil en salle, 1 personne pour l'accueil en bibliothèque. Les aspects logistiques (lumière, son) sont gérés par l'une de ces trois personnes également.
Horaires variables : RDV à 18 h ou à 20 h ou 20 h 30. La durée de la rencontre publique dépasse rarement 1 h 30. Il faut compter au moins une heure en + pour les échanges entre public et intervenants, transport et chargement des instruments... etc.
Bref bilan :
L'organisation de rencontres musicales en soirée est plus lourde en organisation, elle demande une mobilisation plus forte des équipes.
Mais ces moments exceptionnels (2 à 4 RDV musicaux nocturnes dans l'année), permettent d'envisager des projets avec une plus grande amplitude horaire et plus de souplesse dans l'accueil du public.
Cela permet surtout à un intervenant d'aller au bout de son projet musical ou artistique, chose plus difficile à réaliser en journée où le public n'est souvent disponible que sur une plage horaire allant de 40 à 60 minutes.
Certains projets on besoin de conditions plus proches du concert ou du spectacle, même si nous tenons toujours à rappeler le caractère pédagogique, de valorisation (lien aux collections ou à l'action de la bibliothèque) ou de sensibilisation lié à notre action.
Si l'on continue à toucher en partie le public de la bibliothèque, on peut regretter que lors des nocturnes celui-ci soit moins bien représenté. C'est à la fois le point faible et le point fort de ces actions, car elles nous permettent précisément d'aller à la rencontre d'autres publics (qui ne deviendront pas nécessairement de futurs abonnés) et de signifier le rôle particulier que les bibliothèques peuvent jouer en matière d'action culturelle.
Arsène Ott
Bibliothèque Municipale de Strasbourg



Voici le compte-rendu d'une expérience menée par la Bibliothèque de Bobigny poursuivant l'objectif d'ouvrir des espaces d'intervention aux usagers dans un contexte interculturel. Cette expérience interroge également le passage d'une langue à l'autre, la place du bilinguisme dans la bibliothèque.

Dites-le dans toutes les langues :

l'heure du conte bilingue

L'une des principales missions de la bibliothèque est la mise à disposition de l'information et de la culture. A la fois lieu et service public, espace d'échange et de rencontre, la structure se doit d'accueillir, de proposer "des fonds" à l'ensemble des publics d'une ville. A Bobigny, la question de la langue se pose et nécessite une réflexion dans la mesure où le public potentiel est composé de nombreuses personnes d'origine étrangère ou venant de pays où la langue première n'est pas le français. En effet, si le projet initié par Dominique Tabah* de concevoir un ensemble de collections et de services en langues étrangères(notamment dans les langues maternelles des populations "issues de l'immigration") a constitué une "étrangeté", il a été pour nous le début d'un travail qui reste encore largement à étendre. Un important travail reste effectivement à développer en "français langue étrangère". Notre action s'inscrit dans une démarche de médiation multiculturelle dans un contexte français. Il nous a fallu tout d'abord informer massivement sur l'existence de ces fonds, puis mettre en oeuvre des actions en direction des groupes (classes allophones, groupe d'alphabétisation), construire des projets en allant vers des publics ciblés sans toujours savoir si ce que nous proposions allait les intéresser, trouver en eux un écho réel. Depuis trois ans, nous tentons de mettre en place assez régulièrement des "temps d'échange" privilégiant la découverte d'une culture par le biais d'une langue invitée. A ce jour, sept séances de ce type ont été proposées en langues turque, chinoise, tamoule, polonaise, arabe, créole... Cet article est le compte-rendu d'une pratique. Son ambition est modestement d'apporter un témoignage en vue de transmettre une expérience.


1. Bref rappel des objectifs et des moyens mis en oeuvre
1.1. Quels objectifs ?

- Mieux connaître les publics pour mieux cerner leurs besoins
(recherche de nouveaux publics)
- Informer de l'existence de collections et services en "langues du
monde" (guide d'accueil multilingue, accueil classes allophones)
- Découvrir et valoriser la langue, la culture de chacun
- Favoriser l'apprentissage du français (proposer tous les supports
possibles d'apprentissage + choix de textes)
- Valoriser les compétences et les savoirs-faire des usagers
(compétences et savoirs-faire parfois ignorés des usagers eux-mêmes)
- S'adresser à un public familial par le biais des enfants

1.2. Pour quels moyens ?

- Proposer un espace de rencontres et d'échanges qui limite l'écoute
passive
- Proposer une activité conviviale qui mêlerait les publics
- Faire appel aux lecteurs eux-mêmes en sollicitant une implication
directe




2. L'heure du conte bilingue


L'activité se déroule en trois temps : avant / pendant/ après


2.1. Les phases préparatoires



2.1.1. La formulation de la demande et la mise en confiance



La relation qui va s'établir est une relation de personne à personne*. Les bibliothécaires devront faire preuve d'une attention particulière portée à celle ou celui qu'ils accueillent car dans un contexte où, dans la plupart des cas, la langue et la culture d'origine ne sont pas valorisées par la société, l'usager ne formule pas de demande. C'est la/le bibliothécaire qui va être dans la posture du demandeur en sollicitant une participation bénévole. Pour favoriser le climat de confiance permettant le moment venu de proposer à la personne de s'exprimer dans sa langue première, la/le bibliothécaire devra se rendre disponible, prendre le temps nécessaire à l'échange , à l'écoute pour que s'établisse une relation personnelle où chacun existe l'un pour l'autre. Concrètement, la première prise de contact a lieu dans la bibliothèque-même (souvent un père ou une mère accompagnant ses enfants). Plus rarement, par le bouche à oreille (qui concerne les plus "hardis", les plus jeunes) ou par une structure qui va jouer le rôle d'intermédiaire (les centres de P.M.I. constituent de bons appuis car les professionnels de ces structures rencontrent régulièrement les familles et sont en mesure de nous conseiller des personnes susceptibles de s'investir dans le projet avec nous)* Cette phase préliminaire et peu visible est parfois longue et n'aboutit pas toujours à la tenue d'une animation. Rappelons que ces séances se construisent vraiment ensemble.

Lorsque le contact est solidement établi, les bibliothécaires sont en mesure de proposer un rendez-vous de préparation.


2.1.2. Les séances préalables


En général, deux, voire trois rencontres préalables sont nécessaires. Les bibliothécaires placent sur la table des livres dans la langue concernée si la bibliothèque en possède (recueil de contes, livres de géographie, de photos, de cuisine…). La première rencontre permet de les manipuler, de les consulter ensemble. Cette phase est importante dans la mesure où les bibliothécaires ont peu d'informations sur le contenu du livre (notice catalographique "sèche" avec le titre, l'auteur, l'éditeur, quelques mots-clés ou un court résumé en français). Ils vont donc pouvoir poser des questions pour enrichir leurs connaissances "autour" du livre. Cela provoque un échange et parfois, c'est le point de départ à la remémoration. Comme cette mamie qui nous raconte un souvenir témoignant de son attachement à la langue familiale. Née de parents polonais et vivant dans une petite ville minière du centre de la France, elle raconte comment l'enseignant s'appliquait à nier systématiquement la langue de ses parents pour disait-il, ne pas empêcher l'apprentissage du français et comment, finalement, elle a appris le polonais à la maison en lisant le journal ; ou ce lecteur d'origine marocaine qui redécouvre les histoires qu'il a entendu enfant en lisant une bibliographie de livres arabes réalisée au Liban. Peu à peu, une trame se dessine qui va préfigurer le déroulement de la rencontre. La personne repart avec quelques livres. Lorsqu'elle revient quelques jours plus tard, on note en général une nette évolution. Le temps a passé et cela a provoqué des discussions dans la famille. La personne revient avec d'autres souvenirs, d'autres histoires, d'autres envies. Au terme de la deuxième séance préparatoire, les bibliothécaires sont en mesure de construire le cadre de l'animation et d'adapter "la version française" à partir des choix fait dans l'autre langue. Les sources : les livres (recours aux textes bilingues quand ils existent ou recherche d'un conte ou d'une comptine "équivalente"), la mémoire ("mise sur papier" du récit oral) Reste à convenir d'une date pour la rencontre. C'est en général à ce moment-là que nous demandons à notre partenaire de traduire le petit support de communication.


2.1.3. La diffusion de l'information


- le support :
Il est modeste. Quelques affiches de format A3 et un petit tract. Sur une demie-feuille A4 photocopiée, une phrase courte présente l'activité et figurent très en évidence, la date, l'heure, l'adresse (et comment s'y rendre). Ce support est imprimé recto en français, verso dans l'autre langue. Comme l'animation s'adresse à tous avec l'objectif de toucher de nouveaux publics, il est très important de déposer ces "flyers" hors de la bibliothèque. Un repérage préalable de la ville permettra de dégager les lieux de dépôt intéressants, les modes de diffusion les plus pertinents

- les lieux : Nous déposons dans les structures municipales qui accueillent du public (état civil ; hall d'accueil municipal ; structures d'accueil petite enfance ; conservatoire ; crèches ; P.M.I.). Les commerçants sont également des relais privilégiés (épiceries, boucheries, bazars, loueurs de vidéos, vendeurs de journaux, marchés, libraires, cafés, sandwicheries, taxiphones, coiffeurs, tailleurs). S'appuyer sur le réseau associatif, les classes-langues au collège et au lycée peut également être fructueux.

- les techniques :
La diffusion de l'information dans le journal municipal. L'affichage dans les halls d'immeubles. L'encartage du petit tract dans des quotidiens. Il est toujours bienvenu de s'adjoindre la complicité bienveillante du vendeur de journaux du coin !* La distribution directe dans les boîtes aux lettres. En fait, rien ne vaut le bouche à oreille et il est important de garder à l'esprit l'idée de réseau, c'est-à -dire, toute personne susceptible de diffuser l'information : médecin, personnel P.M.I., vendeurs de journaux, personne qui va participer à l'animation dans la mesure où elle informe son voisinage et connaît bien les réseaux commerçants.


2.2. Le déroulement de la rencontre



La rencontre dure environ une heure et se termine par un goûter. Tous les récits, qu'ils soient lus, racontés ou chantés le sont dans les deux langues (la traduction n'est jamais simultanée car il n'y aurait aucun intérêt à superposer les deux langues). Découvrir une langue implique de "donner du temps" à celle ou celui qui la parle comme à ceux qui l'écoute. Les explications d'ordre culturel sont données en français pour faciliter les échanges. Le passage d'une langue à l'autre se fait naturellement. Parfois, les participants apportent des objets ou des instruments de musique. Comme cette jeune femme qui tient absolument à présenter son livre de classe. Elle est d'origine turque, son mari d'origine marocaine. Ils sont parents d'un petit garçon auquel ils aimeraient transmettre l'arabe et le turc. La langue parlée à la maison est le français. Elle apprend l'arabe tandis que son mari apprend le turc. Elle nous brosse rapidement l'histoire familiale. Née en Turquie, elle est arrivée en France avec sa famille à l'âge de sept ans. Elle a donc été scolarisée en Turquie. Durant la rencontre, ce manuel lui servira de support pour parler de la vie des écoliers, de l'évolution de la langue décidée par Atatürk... Les enfants présents posent de nombreuses questions. Certains veulent à leur tour prendre la parole pour présenter leur culture. Autre culture, autre langue... La conteuse chinoise est dynamique, enthousiaste et très expressive. A la fin, deux fillettes viennent à sa rencontre et lui disent : "on a rien compris mais on a tout compris". Voici un exemple de "cadre-programme", reflet du déroulement de l'heure du conte bilingue franco-chinoise : Introduction musicale (temps
d'installation) Bonjour en chinois L'histoire des cinq frères chinois (en chinois avec Me Lay) Présentation de quelques caractères chinois courant + logique combinatoire (en français Me Lay) L'histoire des cinq frères chinois (en français) Présentation des chiffres de 0 à 9 + code des mains pour compter + présentation de la technique du boulier (en français Me Lay) Deux courtes histoires un corbeau qui avait soif et trois petits lapins (en chinois et aussitôt après en français) Au revoir en chinois Goûter Il est très important de ménager des moments aux questions, souvent nombreuses.


2.3. Au fil des séances, des constantes se dégagent


Après l'animation, de nombreuses personnes venues pour la première fois s'inscrivent à la bibliothèque. Au fil des séances, des constantes se dégagent : le public présent est un public familial, mixte et intergénérationnel. Familial : les adultes accompagnent les enfants de tous les âges et assistent aux séances.* Mixte : hommes et femmes prennent part à l'activité. On remarque également que beaucoup d'hommes viennent écouter, alors qu'ils se déplacent assez rarement pour les heures du conte traditionnelles. Intergénérationnel : trois générations enfants/parents/grands-parents sont représentées. Certains d'entre nous avions craint que ce type d'activité ne cloisonne le public : le risque que la mise en valeur d'une langue fasse se déplacer uniquement le groupe directement concerné. Or, la pratique a montré qu'un public fidèle assiste à chaque nouvelle séance, quelle que soit la langue. Notons également la présence des enseignants qui découvrent leurs élèves prenant la parole dans un autre contexte. Que semblent-ils apprécier ? Le moment de partage et d'échange créateur de lien qui n'est ni une représentation, ni de l'exotisme. Le temps consacré à la découverte et à la meilleure compréhension des autres et du monde. Le succès de cette activité (en moyenne, une cinquantaine de personnes à chaque fois) prouve l'intérêt porté aux autres langues, aux autres cultures. Dernière remarque : on note une hausse des sorties de livres en langues.



La bibliothèque a ainsi cette chance unique en tant qu'institution d'apporter des repères culturels aux populations venues d'ailleurs, leur donnant ainsi la possibilité d'exprimer une double appartenance : celle de leur ancrage au quotidien dans une "nouvelle" culture et celle de leur identité première. La bibliothèque est ainsi ce lieu des liens non seulement entre les idées qui font les livres, mais entre les gens, entre les pays et entre les cultures que les populations portent en elles-mêmes, cultures multiples, en évolution et en imbrication constante. La bibliothèque doit permettre à tous de se sentir "chez nous" et pour cela de créer du lien social qui n'apparaît plus toujours aujourd'hui comme évident.

Carine Mignard

Notes
*voir Je viens d'ailleurs : histoires d'immigration et d'exil, Bobigny, 2002 *voir aussi Pluralité culturelle en actes : un nouvel enjeu pour les bibliothèques publiques, ABF (Coll.médiathèmes) 2004 *Préparer ce type d'animation en s'appuyant sur un groupe constitué relayé par un animateur (enseignant, formateur) peut également être intéressant à envisager. *Condition préalable pour le participant bénévole : niveau de bilinguisme suffisant (bon niveau de compréhension et de production orale dans les deux
langues)
*Pour toucher des lecteurs turcophones, nous avions demandé au vendeur de presse s'il nous autorisait à joindre un flyer à chaque exemplaire du quotidien Hürriet, et ce pendant les trois jours précédant la rencontre *Fait assez rare dans notre bibliothèque car l'établissement est accessible des cités du centre-ville sans que les enfants aient à traverser la rue.



Thème de formation : ANIMER UN FONDS DE MUSIQUE / MISE EN VALEUR D'UN FONDS DE MUSIQUE
durée : 2 fois 2 jours
intervenant : du domaine musical


MISE EN VALEUR D'UN FONDS DE MUSIQUE
thèmes pressentis : labels, instruments, genres musicaux...
cadre juridique : diffusion de revues de presse avec extraits (textes, photos), diffusion de documents sonores et audiovisuels
le matériel requis
les partenariats : associations diverses, écoles de musique, enseignants, structures d'accueil (CLAE, centres de loisir...)
les techniques usuelles de mise en valeur
la communication
gestion et utilisation de l'espace disponible
permanence et prolongements de l'opération

ANIMER UN FONDS DE MUSIQUE
mise en relief de la notion de transfert de musique "vivante" à musique enregistrée
cadre juridique : organisation de spectacle
le matériel requis
les partenariats : y compris co-financement
communication / diffusion
les publics sollicités
gestion et utilisation de l'espace disponible
l'espace requis